katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

samedi, mars 26, 2016

posted by katch @ 8:33 AM  

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Dove siete e come state, miei piccioncini viaggiatori? Tutto bene ?Lo spero e ve lo auguro del tutto il cuore.!!!!

Pensierini affettuosissimi, bacini tenerissimi,

con la brezza del Pacifico ed i gabbiani in volo…

31 mai, 2016 01:09  

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