katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

vendredi, septembre 22, 2006



Il semble les surveiller, avec son semblant de képi, prêt à siffler si l'un d'entre eux tentait de se vêtir, mais il n'en est rien, comme tellement de personnes intimidantes et inquiétantes, il observe, simplement, comme un enfant, rêvant de pouvoir s'envoler aussi pour fuir le rôle pesant qui lui colle à la peau.

Et si, par la grâce d'un sourire, on lui prêtait nos ailes?!?

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1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

timidement nous observons, curieux de la compréhension de tels mécanismes pour un jour pouvoir agir...

26 septembre, 2006 11:57  

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