katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

mercredi, mars 21, 2007




"Le temps s'étire
Soirée de pluie printanière
Et moi je songe"

Natsume Sôseki

Libellés :

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Les beaux textes sur ton Blog et tes magnifiques photos parlent la
même langue , celle de la poésie .
qui va droit au cœur !

Merci.

22 mars, 2007 00:00  

Enregistrer un commentaire

<< Home