Le délicieux délire de la neige
Ce matin, la folie de la neige s’offre à nous, il se fait tard, de plus en plus tard pour accueillir l’hiver, mais Fribourg.
Alors Fribourg recouverte de blanc.
Je vais aller marcher un moment, libérer le lutin équipé d’un appareil photo qui se cache dans la poche de ma veste.
Une écharpe, des gants, mon T-shirt dans le pantalon, grand-maman a dit, un sourire floconneux, voici un équipement qui devrait réchauffer ma ballade.
Ensuite on verra, samedi et dimanche s’annoncent, je pensais être porte de Versailles pour le Salon du Livre, je serai finalement provincial, voire, si mes joutes footballistiques de demain tombent à la poudreuse, ferroviaire.
Plein d’images à caresser, de refrains à fredonner.
Le printemps est là, mais on ne le voit plus.
Libellés : Pensées vagabondes
1 Comments:
la neige.soubressaut ultime de la rédibitoire volupté qui nous agresse avec douceur, qui nous caresse avec froideur.savons-nous vraiment si l'angoisse pragmatique est ostantatoire, ou si, dans la citadelle elle n'est que furie...
PUTAIN katch, je commence à parler comme toi bordel!!! si pour finir tu fais rien ce week end, passes a yverdon...
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