katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

vendredi, mars 23, 2007

Le délicieux délire de la neige

Ce matin, la folie de la neige s’offre à nous, il se fait tard, de plus en plus tard pour accueillir l’hiver, mais Fribourg.

Alors Fribourg recouverte de blanc.

Je vais aller marcher un moment, libérer le lutin équipé d’un appareil photo qui se cache dans la poche de ma veste.

Une écharpe, des gants, mon T-shirt dans le pantalon, grand-maman a dit, un sourire floconneux, voici un équipement qui devrait réchauffer ma ballade.

Ensuite on verra, samedi et dimanche s’annoncent, je pensais être porte de Versailles pour le Salon du Livre, je serai finalement provincial, voire, si mes joutes footballistiques de demain tombent à la poudreuse, ferroviaire.

Plein d’images à caresser, de refrains à fredonner.

Le printemps est là, mais on ne le voit plus.

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1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

la neige.soubressaut ultime de la rédibitoire volupté qui nous agresse avec douceur, qui nous caresse avec froideur.savons-nous vraiment si l'angoisse pragmatique est ostantatoire, ou si, dans la citadelle elle n'est que furie...
PUTAIN katch, je commence à parler comme toi bordel!!! si pour finir tu fais rien ce week end, passes a yverdon...

23 mars, 2007 22:39  

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