katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

samedi, novembre 05, 2011

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Ça commence à craindre dans les villes canadiennes. "On vous a entendu, maintenant, l'hiver arrive, ça suffit, rentrez chez vous." Et effectivement, l'idée d'occuper les lieux de façon permanente ne me semble pas productive. On parle plus, désormais, de salubrité, de résistance au froid, qu'aux questions d'abord soulevées par les occupants. Je ne sais absolument pas ce que devrait être la prochaine action, mais le mouvement Occupy ne peut pas en rester là. Sinon, on n'en parlera plus dans deux mois, si pas dans deux semaines. Il faut une mutation, mais laquelle ?

B.

10 novembre, 2011 02:12  

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