katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

samedi, novembre 14, 2015

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Yeahhh Vive les apotropaiques!!! Je ne me souviens plus si je t'avais parlé de cette phrase! mais je m'étais amusé à placé ce mot dans la soirée avec les Schneider ahaha! C'était superbe!!

Bonne mister K

Raph

25 novembre, 2015 22:10  

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