katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

jeudi, novembre 04, 2010

orage et douceur, sur un fil, entre coeur et paupières

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1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Merci de cet hommage posthume que tu rends à cette chantteuse magnifique qu'était Lhasa.
Tu me l'as faite découvrir pendant que nous étions à Leucates à Noël passé, et nous avons appris son départ prématuré pendant notre retour...
Je me souviens que tu peinais à y croire, car tu espérais encore aller la voir à Paris, ignorant qu'elle perdrait son terrible combat contre le crabe...

Nul doute qu'aujourd'hui elle chante avec les anges...

Clé

06 novembre, 2010 12:37  

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