katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

mardi, février 19, 2013

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

hey hey! Aquesta nena és del meu poble!!!Ja veus...cada dia més integrada :o)Et desitjo el millor en tot, i de tu mateix cap al mòn, com ja ho saps fer en molt de gust i somriure per a tothom! Visca Catalunya! milbises. lil.

21 février, 2013 23:42  
Blogger Cicic said...

Mec, j'ai eu une petite pensée pour toi il y a 3 jours.
On était à Istanbul et, devant ce qui semblait être un des seuls magasin de musique de la ville, s'offrait un morceau de Lhasa aux oreilles des passants.

Bref, trop de références katchesques pour que cela ne passe inaperçu.

Des becs

22 février, 2013 14:59  

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