katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

mardi, octobre 12, 2010



"Tu n'as pas réussi
A faire de tous les instants de ta vie
Un miracle.

Essaie encore."

Guillevic, Maintenant

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1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

envie de rergarder tes photos, envie d'ècouter ta musique, envie de reconnaitre ta voix surgir de tes mots, ta voix forte que tu fais toute douce et petite pour ne pas te faire remarquer: ça t'empecherait d'observer.

je comprends que je t'attends sans faire exprès, comme quand on attend le soleil au milieu du brouillard et le brouillard en plein soleil...

enfin, je t'écris un mot

enfin je t'embrasse à nouveau

17 octobre, 2010 11:30  

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