S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.
Eh oui, si vous regardez juste sous mon profil, j'ai compris comment mettre en ligne quelques morceaux que j'aime beaucoup, beaucoup, beaucoup.
posted by
katch
@
7:15 AM
S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.
« Cours autant que peuvent te porter tes jambes, cours d’un ouragan à l’autre et élève ton petit cœur comme une supplique adressée aux plaines où se bousculent les lettres et les étourneaux. [...]. N’y a-t-il pas dans ta voix le fracas d’une rupture ? » Salim Barakat, Le criquet de fer
6 Comments:
oh ben ça oui alors ?!!? Merci!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
LE plus drôle c'est qd tu les joues tous en même temps!! Une sorte de cacophonie ou faut retrouver qui chante quoi.. MErci Katch!!
Ecouté avec ma fille... N'ayant pas mes disques avec moi, car en plein déménagement ! Le premier inclassable m'a rappelé des souvenirs.
Lou a aimé.
Ca c'est la classe! Je me serais cru de retour à Thoune en écoutant la Montagne!
Une touche de lumière... la douceur de la voix et des mots sur des notes tendresses...juste pr dire calmement, on peut faire autrement...comme une caresse...Merci pr Abd Al Malik
J'espère y puiser la force pr ce début de matinée, merci, vraiment
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