katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

lundi, mai 30, 2011

Bon voyage maestro



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2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Un peu facile de mettre des vidéos sans commentaire... hihihi

El dadet

30 mai, 2011 09:12  
Blogger Ondine said...

C'est en passant ici que j'apprends la mauvaise nouvelle... Et dire que je l'ai découvert l'année dernière uniquement!

30 mai, 2011 20:36  

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