katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

dimanche, juin 24, 2007


« Etre poète
C’est garder ses dix ans
Tout en faisant sienne
La langue des autres
Et tout le noir
Qu’ils transportent
Sans le savoir. »



Guillevic

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1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Guillevic, un gars qui gagne à être connu ;-)


Pourtant cet apr..trouvé....(parce que cette citations de Mr G, me convenait qu'à moitié, la moitié pleine, bien sûr....mais l'autre y'avais quoi dedans?...;-)...

Des mots pommades pr garder ses dix ans.
La langue d'un autre et toutes les couleurs qu'elle transpose...

Pas terminé mais ne peut résister au besoin de partager...(la joie c'est fait pr ça ;-) )
p42 et 99...des clins d'oeil à ton interrogation, qui parle d'Illich ;-)...

J'aime... sourires et coeurs plein les marges...

"La décroissance pour tous" Nicolas Ridoux, Parangon/Vs, Lyon, 2006

Que du bonheur, vivement la suite...

24 juin, 2007 21:12  

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