katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

jeudi, novembre 02, 2006

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2 Comments:

Blogger Petchal said...

Est-ce que tu aurai manqué l'actualité du jour!?!? Katch, j'attendais un poème sur le basket!!!
On a la chance de vivre l'HISTOIRE du basket helvetique!!!!
merci Thabo.

http://www.nba.com/playerfile/thabo_sefolosha

02 novembre, 2006 17:29  
Anonymous Anonyme said...

Un mec qui bouffe du livre.
Tu le connais?
Pour ça, il en bouffe.
Et ne vomit jamais.

Pas de téléphone mobile, mais un appareil photo numérique, sur lequel on ne peut le joindre (!).

Un quatrième de couverture.
Moins que ça.
Un réseau d'abandons,
Flash d'espace-temps périssable,
Paysage furtif bien qu'immortalisé digital.

Et de casser l'image
Du poète sauvage,
Qui ne conserve qu'un ancrage:
Peinture de l'âme en chemin de soi.

Il suffit de l'accompagner
Pour finir par y Coire.

Sb

09 novembre, 2006 21:31  

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