katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

lundi, janvier 15, 2007


Libellés :

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Merde on dirait que ton site est envahi à son tour par les déchets électroniques. J'espère que t'as de la pénicilline....

15 janvier, 2007 15:10  
Anonymous Anonyme said...

Superbe cette photo, elle va me servir de fond d'écran.

21 janvier, 2007 12:21  

Enregistrer un commentaire

<< Home