katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

jeudi, juin 28, 2007


Réussir à trouver sa place, dans la vie et sur la page planche, entre aspirations, inspiration et respiration.


Je t’ai écrit un jour que, pour moi, tu es l’âme du ciel bouleversant une étendue d’eau, je le note à nouveau, parce que je ne saurais mieux dire et que cela me permet d’aller de l’avant. Jamais droit. Refuser de me retourner un jour pour voir une autoroute.

Des vagues, des éclats, des propagations d’ondes poétiques provoquées par un minuscule caillou de prose, c’est tout cela l’âme du ciel qui bouleverse une étendue d’eau. C’est tout cela, toi.

Je me répète, me relis alors, constate que passé et présent s’entremêlent, se chevauchent. Bien leur en prend. Ma plume ne veut pas ordonner, juste, dans la petite mesure qui est la sienne, effleurer une parcelle de cette beauté que tu n’as de cesse de m’offrir.

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2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Qu'une main douce te caresse la joue et qu'un baiser te donne du souffle,
petit poète accroché à la vie...


g

28 juin, 2007 15:48  
Anonymous Anonyme said...

J'aime la mesure de ta plume.
Son trajet entre aspiration, inspiration et respiration.
Effleurant la beauté à petits pas feutrés
Comme une musique apportée par le vent

….un cygne passe….
J’aime tes mots, tes images, tes musiques car ils sont comme une porte sur des promenades imaginaires à inventer infiniment

28 juin, 2007 19:01  

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