katchdabratch

S'engouffrer dans le sillon de mots indociles; y façonner des points d'appui, pour soi et quelques autres. Pétrir les silences qui sont une partie du terreau où s'ensemence ce qui nous dispose dans le jour. Les inviter à s'ébrouer. Apparaît alors parfois une ouverture, elle offre au souffle un fragment de miracle: ne plus craindre la douceur.

samedi, novembre 15, 2008


"Et cette proximité du vide à chaque fois que je déracine un mot sur ma langue"



Seyhmus Dagtekin, Les chemins du nocturne

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2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Déraciner les mots de la langue sur un arbre implanter dans du sable et partager une conversation ensoleillée et lacustre pour mieux recueillir notre vison de soi dans se monde qui nous fait parcimonieusement pousser de la mauvaises herbes dans les oreilles!

16 novembre, 2008 14:53  
Anonymous Anonyme said...

Erratum : ...implanté.... dans ce monde qui nous fait parcimonieusement pousser de la mauvaise herbe dans les oreilles!

les dimanches et l'orthographe ne sont pas de bons amis! Ah ces problèmes de code et de système de la langue!!!

16 novembre, 2008 15:16  

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